Mettez bébé dans une tasse et gagnez un lange Aden + Anais !

EDIT

Leny et la Dream Team sont les grands vainqueurs et remportent chacun un lange Aden & Anais ! Découvrez leurs clichés ici ! Bravo !

…. Ou pas tout en fait dans la tasse. Il ne faudrait pas qu’il la boive, la tasse… Faites semblant ! Placez la tasse devant bébé en couches, bébé qui saute, bébé qui boit, etc. et obtenez des mises en scène rigolotes ! C’est le Baby Mugging ! Envoyez vos clichés à Paquet Câlin à l’adresse bonjour@paquet-calin.com avant le 7 juillet à minuit !

Un jury composé de Plus de Mamans, Maman Geek, Sweetness in the City et Voilapapa aura la lourde tâche de départager vos clichés ! Les 2 Baby Muggings les plus chouettes seront récompensés par des langes Aden + Anais !

Tasse pour enfant Faire un beau paquet cadeau

A vos tasses… Prêts… Clichés !

Les premiers clichés sont visibles ici.

N’hésitez pas à relayer le concours sur les réseaux sociaux et sur vos blogs !

Voilapapa a 1 an : les 12 mois d’un papa !

Voilapapa est encore tout bébé. Le blog souffle sa première bougie aujourd’hui. Une légère flamme qui vacille, rétrécit ou s’allonge au gré du nombre de visites. Grâce à vous, Voilapapa est loin de fêter sa première année d’existence seul : merci pour votre présence fidèle !

Voilapapa est également loin d’être seul pour une autre raison : il a un frère jumeau… Le blog de Papa Lion a en effet vu le jour au même moment que Voilapapa (mais dans une autre blogmaternité) ! En guise de fête d’anniversaire, Papa Lion et Voilapapa retracent ensemble les 12 mois de la vie d’un papa.

Janvier

Point de méthode Assimil pour les parents, le premier jour de l’année balance la sauce. Toute la sauce… Les jours fériés Voilapapa ? Oublie. Le lever à 11h Voilapapa ? Oublie aussi, l’an prochain tu crieras Bonne année dès 23h et t’en iras te coucher dare-dare.

Février

Papa Lion entrevoit le printemps et s’accroche à l’idée que les jours rallongent. Février, lui, s’accroche plutôt à l’hiver. Le calendrier s’accroche au mur mais ne tourne pas la page et le sérum physiologique vient à manquer. Les virus succèdent aux bactéries. Les antibiotiques, c’est pas automatique, d’accord, et c’est bien dommage. Papa Lion se dit que l’hiver est bien long.

Mars

Mars, le dieu de la guerre. Le mois de la guerre aussi. La guerre des nerfs.

« Viens Voilabébé, profitons du rayon de soleil pour prendre l’air ! »

Oh oui papa, j’en ai marre de jouer dans le salon !! »

(La pluie se fait entendre)

« Euh, tu es sûr que tu ne veux pas retourner jouer dans le salon Voilabébé ? »

Avril

Papa Lion voudrait sortir les maillots de bain. Maman Lionne rappelle qu’il ne faut pas se découvrir d’un fil. Papa Lion trouve que Maman Lionne a des proverbes d’hier. Maman Lionne rappelle simplement qu’il faut encore froid, aujourd’hui. Les enfants applaudissent des deux mains. Une éclaircie : Papa Lion est en manches courtes. Le lendemain, Papa Lion est enrhumé.

Mai

« Voilabébé, le moment est venu pour ton père de t’apprendre la vie : on va ouvrir un petit commerce. Un brin de muguet, 1 euro. Tu vois, le business, c’est facile ».

« Tiens papa, je me suis occupé du stock ».

« Aaargh, les tulipes de ta mère ! »

Juin

Le jour des trois fêtes les plus importantes de l’année : la fête de la musique, la fête de l’école, la fête des pères. L’année scolaire touche à sa fin. L’heure du bilan et la porte entrouverte sur deux mois de vacances d’été. Celles qu’on appelait autrefois les grandes vacances. Deux mois avec Papa Lion. Je ne sais pas pour eux, mais pour moi, juin, c’est la fête.

Les quatre saisons Quelle est la meilleure saisons pour les enfants

Juillet

(Les Voilà pris dans un embouteillage)

« Tu l’avances ta caisse ? »

« Papa, tu sais, partir en vacances en juillet, ce n’est pas malin ».

« Euh, répondre à ton père n’est pas très malin non plus ».

« Comme tu veux papa, mais à la télé, ils ont montré un troupeau de vélos qui devait bloquer les routes tout le mois de juillet ».

Août

Pétard, il fait chaud. C’est la piscine, c’est le rosé, c’est la route. Les petites cousines, les rires, les petits bobos. Les mollets tout bruns, le sable entre les orteils, le dernier bain, le dernier des derniers, promis Papa Lion. Avec ses deux enfants, Papa Lion fait des châteaux à la pelle. Certains s’interrogent : lequel des trois s’amuse le plus, la pelle a la main ? En août, Papa Lion a la vague dans l’âme.

Septembre

« Tu fais quoi papa dis ? »

« J’écris au ministre Voilabébé ».

« Pourquoi, tu veux l’inviter à dîner ? »

« Je lui demande plutôt de déplacer la rentrée des classes au mois de juillet ».

« Mais pourquoi papa ? »

« Pour que tu arrêtes de bousiller tes nouvelles chaussures à la première flaque d’eau venue ».

Octobre

Papa Lion pense encore à août, aux pelles, à la vie de château de sable. Avec le calendrier, Papa Lion se mange un râteau. Mais il faut se recouvrir d’un fil. Les enfants sont tout blancs et les journées bien grises. Les enfants parlent d’Halloween. Les annonceurs nous annoncent déjà Noël. L’automne triomphe, et la fin de l’année qui n’est même pas proche.

Novembre

« Papa, c’est quand Noël ? »

« Pas maintenant Voilabébé, papa est occupé ».

« Papa, c’est quand les vacances ? »

« Pas maintenant Voilabébé, je t’ai dit que j’étais occupé ».

« Papa, c’est quoi maintenant ? »

« Pas maintenant Voilabébé… »

«  Euh… alors c’est quand ?? »

(Novembre, le mois sans)

Décembre

On y va tout droit et, comme chaque année, ça ne loupera pas : Noël. Les enfants laissent subrepticement traîner des catalogues de jouet. Papa Noël est dans toutes les conversations. Comment il fait, par où il va passer, et si il se trompe ?

Un an a passé. Les enfants ont grandi. Papa Lion les chérit, à vie.

Source : éditions Naïve

La guerre des bouchons

Au son ferme et cadencé du tambour, les deux corps d’armée progressent au pas vers le centre du tapis, s’observent, se toisent, bombent le torse. Et tombent lourdement sur les fesses, les jambes écartées. Deux tout petits corps d’armée, l’un à peine plus grand que l’autre. L’uniforme est magnifique, uni ici, rayé là. Une véritable guerre en dentelles sans dents.

La guerre, on ne la déclare qu’en cas d’ultime recours, quand on a abattu toutes ses cartes et pour sauver ce qu’on a de plus cher. Nos deux petits corps d’armée le savent bien. Mais qu’ont-ils à sauver ? Leur maison ? Non, l’assurance habitation, les dommages et intérêts, tout ça c’est un truc de parents. Leur liberté ? « Je pleure, on accourt »… Difficile de faire plus libre. Conquérir de nouveaux territoires mais pour quoi faire ? On est bien à la maison. L’appât du gain pourrait se résumer à une seule chose : tout mettre en bouche. Tout, tout, tout. L’esprit de conquête commence ici. Ensuite, c’est la guerre comme seuls les adultes savent la faire.

Trois jours durant, Voilabébé a partagé son espace vital avec Voilacopain de trois semaines son cadet. Heureux de tenter l’aventure, Voilamaman et Voilapapa appréhendaient un peu : et si ça se passait mal ? Et s’ils se déclaraient la guerre ? Il faut qu’ils se découvrent de manière progressive, fassent connaissance, s’apprivoisent. Il faut éviter toute jalousie. Si l’un est à bras, l’autre devra l’être aussi. Que nenni. Tout compter, c’est un truc d’adulte. La guerre aussi, c’est un truc d’adulte.

La guerre des bouchons

La guerre des bouchons

Pose-là deux bouchons. Conquérants, Voilacopain et Voilabébé vont-ils se ruer et chercher à constituer le plus gros amas d’armes jamais vu ici (soit deux bouchons). Non. Bonhommes, ils avancent, les yeux ronds, le sourire aussi. A chacun un bouchon, n’importe lequel. Aucune velléité de conquête, le champ de bataille n’est que chants de marmaille.

La guerre des boutons, c’était la guerre en plus petit. Il fallait quand même se mettre sur la tronche. La guerre des bouchons, ce sont les tout-petits qui ne savent pas faire la guerre. Il se contentent de se mettre un bouchon en bouche. Assis là dans leurs pyjamas sans boutons et bien que petits et ronds, ce ne sont vraiment pas des Napoléon.

Voilabébé, voici 10 conseils pour te faire des amis

(cet article est d’abord paru ce matin sur le site sobusygirls.fr)

A 10 mois, la vie est dure : bébé ne s’est jamais fait un seul ami. Toutes ses relations sont imposées. Sa mère, son père, sa nounou. Il n’a pas le choix… Et si bébé n’avait jamais d’amis ? Pas de microbes échangés, une qualité de vie irréprochable certes (couché tôt, pas de beuverie, etc.) mais toute la classe qui l’appelle « Sans-ami ». Ca, c’est raide. Voici 10 conseils à tenir pour que bébé ne soit jamais affublé d’un tel surnom.

1. Avant de lire les 9 conseils suivants, apprends à parler si tu veux bien.

2. Tu sais parler ? Bien, n’arrête pas de sourire pour autant.

3. Joue à celui qui a déjà des amis. Les amis ne se font d’amis que parmi ceux qui ont déjà des amis. Complètement idiot ? Oui, et un peu dur aussi. Mais c’est comme ça.

4. Le groupe d’amis se ferme et se moque à ta venue ? J’aurais dû le préciser : fais-toi de vrais amis.

5. Ne reviens pas avec un ami demain matin. Je ne te croirai pas. Se faire un ami, ça prend du temps.

Voilapapa SBG Salut les copains

       6. Parle-lui de lui/elle et rigole de toi.

7. Fais mine de connaître sa ville de résidence dans laquelle tu n’as jamais mis les pieds. Demande-lui s’il habite à proximité de la rue Jean-Jaurès ou de l’avenue Charles-de-Gaulle. Ca marche à tous les coups. Si ton ami est Belge, remplace Jean-Jaurès par « du Roi » et Charles-de-Gaulle par « de la Reine ». A force d’omettre ce détail, les Français se sont fait très peu d’amis belges…

8. Trouvez-vous un sport commun. N’importe lequel.

9. S’il/elle est ton ami(e), retiens que tu es aussi son ami.

10. Arrête d’écouter les conseils fumeux de ton père et va jouer avec tes amis.

Voilapapa pour So Busy Girls

La bébé fête des pères

Un poème ? Non, il ne parle pas.

Un porte-cravates ? Il mange les miennes, ce n’est pas pour tout de suite.

Une paire de gants pour remonter l’ancre ? Il n’a encore jamais mis l’orteil sur un bateau.

Et puis, le cadeau, encore faut-il l’apporter, le déposer dans la main robuste de papa et dire « bonne fête papa. Si tu l’as déjà, tu peux échanger, le ticket de caisse est dedans. Mais ne le perds pas, je te connais ».

Rien de tout cela. Ce fut une bébé fête des pères. Tellement petite qu’on ne peut la tenir en main. Comme bébé peine à tenir le cadeau dans la sienne. La première fête des pères, celle qu’on découvre, qu’on regarde, celle qui berce.

Difficile à organiser une bébé fête des pères. Voilabébé joue à la balle de ping-pong, allant de Voilamaman à Voilapapa, et de Voilapapa à Voilamaman. 17 fois de suite, au moins. Opportuniste, Voilamaman se rue sur l’occasion. « Tiens chéri, donne le paquet à papa ». Et Voilabébé de repartir vers Voilapapa, sans le paquet… Il se fourre dans mes genoux en riant. Une belle fête des pères, la toute-petite, la bébé fête des pères. La première.

Voilabébé retourne voir Voilamaman. Ils reviennent tous les deux main dans la main et posent le cadeau de fête des pères dans la mienne. Un bébé cadeau, le premier : les deux toutes petites mains de Voilabébé. Et les deux grandes mains de Voilapapa d’applaudir.

Les 2 petites mains de Voilabébé (oui, j'ai déchiré le côté gauche oups)

Non ce n’est pas du saumon fumé mais les 2 petites mains de Voilabébé (oui, j’ai déchiré le côté gauche oups)

Je me plais à imaginer la fête des pères grandir. L’an prochain, elle marchera définitivement, s’entendra dire « bonne fête papa » peut-être, et verra un petit paquet avancer vers moi au creux d’une main potelée. Elle sera encore bébé certes mais un peu moins. Et ce sera la deuxième : elle aura grandi et nous aussi.

Très belle fête des pères à tous les papas ! Et très belle bébé fête des pères aux papas qui, comme moi, l’ont vécue pour la première fois !

Voilapapa a été interviewé par Daddyze.com

Nouveau site communautaire pour les papas, Daddyze.com vient de consacrer un dossier aux papas blogueurs. A cette occasion, 8 blogueurs ont été interviewés, et parmi eux, Voilapapa :

LE QUESTIONNAIRE DE DADDY PROUST !

La qualité que tu préfères chez un père ?

L’imagination.

La qualité que tu préfères chez une mère ?

La compréhension en toute circonstance.

Ce que tu apprécies le plus chez tes amis ?

Leur fidélité à toute épreuve.

Ton principal défaut en tant que père ? 

Me prendre pour sa mère.

Ton occupation préférée avec tes enfants ? 

Une course-poursuite sur le lit. Même sans voitures, c’est super sympa.

La remarque ou conseil fait aux parents qui t’insupporte le plus ?

« Si j’étais toi… » STOP

Le pouvoir que tu aimerais avoir pour être “super-papa”  ? 

Le pouvoir de l’écoute absolue.

Le livre que tu as actuellement sur ton chevet ? Si tu n’as pas de chevet, ça compte aussi.

Je ne sais plus, Voilabébé a arraché la couverture

Tes héros de fiction préférés ?

Batman parce qu’il n’a pas de super-pouvoir et le Petit Prince parce qu’il n’est pas roi et qu’il est tout petit.

Un album de zik à écouter absolument ?

Je suis complètement fan de Bob Dylan. Disons son deuxième album : The Freewheelin’ (en roues libres) Bob Dylan, parce que moi aussi, depuis que je suis papa, je suis en roues libres !

Ton Disney préféré ? Si c’est Cendrillon, on ne juge pas tu sais…

Le Roi Lion mais faudrait que je change, le papa termine trop mal.

Un film que tu conseilles pour les Gnomes ?

Le film qui permet de dormir le dimanche matin ?

Ta devise de papa ?

« Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants »

L’introduction de l’interview est disponible sur Daddyze.com, le nouveau site à découvrir d’urgence !